第189章 BOOK II.(151)
184. En Angleterre. Raleigh, Essai sur le commerce, en 1595. Edouard Misselden. Cercle du commerce, en 1623. -- Louis Roberts, Trésor du trafic, en 1641. -- Thomas Munn, Trésor de l'Angleterre pour le commerce étranger, en 1664. -- Fortrey, Intérêts et améliorations de l'Angleterre, en 1664. -- Davenant, dans son ouvrage relatif au commerce et au revenu de l'Angleterre, tome 1. page 16, en 1696. -- M. Martin inspecteur-général des douanes, ou le Marchand anglais, en 1713.
En Hollande, Jan De Witt, Mémoires, en 1669.
En Italic, Serra, Breve trattato delle cose che posseno fitr abondare li regni d'oro, en 1613. -- Genovesi, Lezioni di cconom. civile. en 1764.
-- Muratori, Felicità pub., cap. 16, sul principle. -- Corniani, Reflex. sul le menete.
En France, le cardinal de Richelieu et Colbert, ordonnances ct réglemens pendant leur administration.
185. Thomas Culpeper's useful remark on the mischief of an high national interest, en 1641. -- Josiah Child, brief observations concerning trade and interest of money, en 1651. -- Samuel Lamb -- Land for Banks and lumber houses, en 1657. -- William Patterson, auteur du projet de la banque de Londres, en 1694, et Barnard, dans ses Discours sur la réduction de l'intérêt de l'argent, en 1714.
186. Physiocratie.
187. Richesse des nations, liv. II. chap. 3. --David Hume peut avoir donné, à Adam-Smith l'idée de ce systéme. Il dit littéralement que les hommes ne peuvent acquérir que par le travail. (Essai sur le commerce, édit.
d'Edimbourg, 1804, in 8vo. vol. I. page 277.)188. Ibid., tome II. page 231.
189. Addition aux quatre premières éditions de l'Essai sur la population, chap. 11.
190. Ibid.
191. Id., tome I. page 53
192. Mun, p. 49, l2mo. edit., he published in 1664.
193. Wealth of Nations, B. II. c. ii.
194. Ibid. p. 24.
195. De la Republique, liv. VI.
196. "Pourquoi les exclure? Les constructions sont des produits de l'industrie humaine consacrés à la reproduction;partant ce sont des outils. Un champ lui-même est un outil qui ne differe des autres qu'en ce qu'il n'est point un prodnit de l'industrie, mais un don de la nature."J.-B. Say.
197. See the correspondence between Lord Liverpool and the Chancellor of the Exchequer and the Bank of England, in 1826, in Hansards Debates.
198. Joplin on Currency, p. 108.
199. It may be observed, that there is a great difference between Great Britain and the United States in this respect, because in Great Britain the government funds afford an advantageous investment for the capitals of individuals, widows, etc., who in this continent are under a sort of necessity of placing it in banks. In this, and in many other respects, as in the distance from other nations, and the increased difficulty in replenishing the stock of bullion when exhausted, the situation of the two countries is very different.
200. Book II. c. ii.
201. Page 188.
202. As for instance, the contraction of issues by the bank of England in 1826, (the immediate cause of the disasters of that year,) and the legislative enactments on British currency for the last twenty years.